Communication avec un défunt. Le 12 juillet 2017
Une mère de famille écrit ce mot à son fils Benjamin.
La Lettre :
« La mort c’est le stade ultime de la vie, c’est la juste compréhension qu’on est unis aux gens que l’on aime pour l’éternité. C’est à la fois la joie d’être unis et la paix de savoir que les liens sont plus puissants que le cordon ombilical si fragile qui donne la vie.
La mort c’est la vie en plus fort. »
La mort c’est la vie en plus fort. »
« Quand la vie terrestre s’arrête, tu crois que tu vas partir loin mais tu restes là. Tu restes juste à côté à regarder ce que tu crois rater.
Tu participes pourtant à tout, tu parles, tu te fais même comprendre parfois car l’échange existe. Pourtant tu crois devenir fou mais jamais ton coeur ne s’emballe car tes nerfs sont différents, ils ne sont plus physiques, plus agressés. Aussi tu mets du temps à comprendre ton calme et ta résignation et puis tu te dis que tu as changé, que finalement tu aurais aimé avoir toujours ressenti cette paix « intérieure ».
Tu participes pourtant à tout, tu parles, tu te fais même comprendre parfois car l’échange existe. Pourtant tu crois devenir fou mais jamais ton coeur ne s’emballe car tes nerfs sont différents, ils ne sont plus physiques, plus agressés. Aussi tu mets du temps à comprendre ton calme et ta résignation et puis tu te dis que tu as changé, que finalement tu aurais aimé avoir toujours ressenti cette paix « intérieure ».
« Tu te dis que c’est facile et tu la souhaites à chacun, alors tu essaies de passer ce message et cela devient ton savoir à transmettre, ta contrepartie d’amour, ton legs au monde.
Tu fais cela jusqu’à ce que ta voix soit perçue 1 fois, 2 fois, que la paix soit revenue dans le coeur et la tête de ceux que tu n’as pas vraiment quitté mais qui ont perdu ton regard de vue. »
Tu fais cela jusqu’à ce que ta voix soit perçue 1 fois, 2 fois, que la paix soit revenue dans le coeur et la tête de ceux que tu n’as pas vraiment quitté mais qui ont perdu ton regard de vue. »
« Un jour on te dit que c’est bon. Alors tu te trouves une autre activité, alors tu t’éloignes un peu mais doucement.
Ici on se ménage et on met un pied devant l’autre comme sur un fil. On sait que c’est comme ça, que l’équilibre on ne peut pas le nier si on veut voler. On est partis pas loin, quelques part où on garde une fenêtre ouverte sur ce monde. Celui qui nous a fait évoluer, cette petite pépinière, ce petit couvoir qu’est la terre »
Ici on se ménage et on met un pied devant l’autre comme sur un fil. On sait que c’est comme ça, que l’équilibre on ne peut pas le nier si on veut voler. On est partis pas loin, quelques part où on garde une fenêtre ouverte sur ce monde. Celui qui nous a fait évoluer, cette petite pépinière, ce petit couvoir qu’est la terre »
Fin de l’extrait du message
Si vous souhaitez utiliser cet article de blog :
Merci d’indiquer la source mentionnant Dame-cande.Médium ainsi qu’un lien « sortant vers ce site.
