Des preuves de la vie après la mort
La vie après la mort, entre fascination et déni.
C’est à la fois valable pour le médium qui ne veut pas se déconnecter de la société que pour celui qui écoute les témoignages de la vie après la mort, mais qui ne souhaite pas prendre parti et qui est content de se placer sans engagement en simple spectateur et parfois si on a de la chance il sera à tendance « bon public ».
Et vous, comment faites-vous?
Voici les 3 histoires de preuves de la vie après la mort que j’ai envie de vous raconter dans cet article.
Histoire 1 : Pourquoi un défunt me montre-t-il l’inspecteur Columbo?
Récemment, j’ai accepté de réaliser une consultation de défunt (toujours à distance) pour une personne qui n’a pas pu rencontrer son père et qui ne dispose que de très peu d’éléments le concernant. J’ai souhaité avoir uniquement un prénom pour établir le contact et une liste de questions à laquelle le défunt a accepté de répondre, je pense avec sincérité.
La première des preuves de la vie après la mort est la suivante :
Vous souvenez-vous de ce sympathique inspecteur?
La deuxième des preuves de la vie après la mort est la suivante :
Le monsieur défunt me montre des oiseaux et j’entends le mot « Alouette ». J’ai l’impression qu’il chante de comptines.Du coup, j’en déduis qu’il a dû avoir des enfants, autres que la personne qui me consulte. Il semble d’accord avec ça, mais veut aller plus loin. J’entends alors le nom « Yves Duteil » et il me demande de faire le lien entre « Alouette » et « Yves Duteil » dont je ne connais pas le répertoire hormis la célèbre chanson « Prendre un enfant par la main ».
J’attrape alors mon clavier d’ordinateur et je découvre une très belle chanson « Fais-moi des Ailes ». C’est un beau clin d’oeil de l’au-delà d’autant plus que son enfant à un tatouage d’oiseau sur le corps et qu’il est dit dans la chanson : « (…) Toi qui fais les bêtes, les hirondelles, et les alouettes, fais-moi des ailes (…) ».
Plus tard, nous établirons que Yves Duteil pouvait possiblement faire partie du répertoire d’artistes connus et aimés par le défunt, car ils ont tous les deux des connexions dans leurs engagements sociaux et une connexion amicale.
Histoire 2 : Ma consultante me teste.
Me faire tester c’est horrible parce que ça met une pression supplémentaire à celle déjà existante et personnellement je vous avoue que chaque rendez-vous que j’accepte est comme une première fois pour moi, je suis toujours aussi impliquée qu’au premier jour et il y a toujours une angoisse latente, celle d’être défaillante alors que je sais que mes consultants ne m’ont pas choisi par hasard. Ils ont investi également une énergie dans ce rendez-vous et ils méritent un juste retour.
La seconde raison de refuser les tests est la forme que prend le test. Se faire tester par une personne qui ne connait pas vraiment la médiumnité est une exigence à laquelle il peut être difficile de répondre, car la médiumnité ne peut absolument pas se valider en répondant avec un QCM et à des questions fermées. Pourtant c’est souvent ainsi que le médium se fera tester par ses consultants.
Dans cette histoire numéro 2, une consultante que je connais bien a offert à une de ses proches amies une consultation de défunt avec son papa décédé peu avant Noël. La jeune femme qui a reçu en cadeau cette séance ne connait pas la médiumnité et avec beaucoup de gentillesse, elle m’a proposé par email de répondre à une question « test » afin de se sentir en confiance avec moi.
J’ai senti qu’elle m’accordait la possibilité de refuser alors je n’ai pas envoyé de refus et j’ai choisi de poser la question qu’elle m’avait envoyée à son défunt père et de voir ce que ça donnerait.
- Voici la question : quel est le nom du chien de mon papa?
À la fin de ma canalisation (dont le contenu sera très en rapport avec la réalité) et juste avant de téléphoner à la consultante pour lui lire la lettre de son papa, je me risque au fameux test et je demande au défunt le nom de son chien.
Je suis très mauvaise au jeu des prénoms et je sais que ça risque de ne pas passer au travers de mon filtre. J’entends des prénoms féminins qui se terminent sur le son « A » mais surtout il dit qu’elle est belle et je vois un chien blanc. Je vois que le défunt tire un trait comme pour passer à autre chose puis il me montre ensuite des pattes marron dans l’herbe et j’entends le nom « Einstein ». Puis, de nouveau, je vois que le défunt tire un encore un trait et il me montre des cacahouètes.
Je me demande ce que je vais faire concrètement de ces images et de ces mots, et surtout je n’ai toujours pas le nom du chien…
Je téléphone à ma consultante et je choisis de lever le mystère au sujet du prénom du chien et des preuves de la vie après la mort avant même de lire le message du défunt.
Ma consultante me confirme qu’il s’agit effectivement d’un petit chien blanc et que le nom se termine par la lettre A. Elle me dit aussi qu’il disait qu’elle était belle.
Je lui parle ensuite des pattes marron dans l’herbe et de Einstein. Ma consultante m’indique que son papa avait un chien berger allemand qu’il avait dressé pour l’accompagner dans sa profession et qui possédait donc une grande intelligence. Einstein n’étant pas le prénom du chien, je suppose qu’il s’agit alors de montrer qu’il s’agissait d’une intelligence hors norme et d’appuyer ce fait.
J’ose ensuite parler des cacahouètes, car mon expérience m’a montré comme dans l’histoire n*1 qu’il vaut mieux tout dire, car les messages s’adressent au consultant, c’est à lui de comprendre.
Ma consultante va alors me révéler que son père avait un furet qui ne mangeait que des cacahouètes.
Sans trouver le prénom du chien, je pense que le message est clair et fourni pour ma consultante.
Je la remercie d’avoir eu l’intelligence de me laisser le choix de répondre ou non à son test. Merci aussi à son père d’avoir mis tout son génie en oeuvre pour répondre à cette question et pallier à mon incapacité en ce qui concerne les noms et prénoms.
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Histoire 3 : Le jour où j’ai décidé de reprendre contact avec les défunts et de recevoir des preuves de la vie après la mort.
J’ai commencé à parler avec les défunts alors que j’étais assez jeune, voir trop jeune. Finalement, j’ai décidé de ne plus leur causer du tout pendant des années. Le canal était fermé et j’ai vécu ma vie assez tranquillement. Je me suis ensuite concentrée sur les guidances. Les guidances et la lumière qu’elles dégagent, la sécurité dans laquelle on peut travailler est tellement plaisante!
Un jour, à la suite d’une guidance ma consultante m’a parlé de sa maman qui lui manquait tant. Elle a été très touchante et j’avais en face de moi non plus une femme, mais une petite fille qui voulait parler à sa mère par l’intermédiaire d’une autre personne. Elle n’était pas assez sûre d’elle à cette période pour communiquer en tête à tête avec sa mère.
J’ai pensé que j’avais maintenant assez de caractère et d’ancrage pour accéder à sa demande.
L’instant d’après, j’ai reçu une photo de sa mère sur mon ordinateur.
J’ai alors vu un camion, j’ai pensé à un jouet, mais cela ne parlait pas spécialement à ma consultante. Alors je me suis réaligné sur la communication plutôt que de m’embourber dans cette histoire de camion. C’est alors que dans ma tête est venue se poser une phrase sympathique et tellement joyeuse « J’adore faire des glaces, il y en aura pour tout le monde! ».
C’est alors que ma consultante m’a indiqué que sa maman avait été glacière et que c’était une période heureuse de leur vie!
C’était gagné!
Merci à cette maman qui m’a fait reprendre en douceur les contacts avec nos chers défunts et a apporté des preuves de la vie après la mort.
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Bonjour,
J’ai lu ces différentes histoires avec beaucoup d’attention Ceci pour deux raisons bien distinctes, la première par rapport à l’intérêt que je porte à l’humain ( terrestre ou non) en général et à ce qu’il vit. Mais également il faut bien se l’avouer, à titre personnel, pour le récit sur la façon parfois symbolique dont vous captez les messages. En effet, confrontée depuis quelques temps à la réception de certaines informations » non conformes » dira t’on, je me trouve un peu démunie parfois quant à la retranscription » terrestre » de ces messages. Je perçois tout à fait comme vous le dites si bien que ces infos ne nous appartiennent pas et doivent être retransmises au mot près, y compris avec les fautes d’orthographe, et même si aucun mot identique ne peut être trouvé dans notre langage terrestre pour être au plus près » de la vérité » transmise. Merci donc pour ces récits mais également pour votre humilité à reconnaître que même avec des années d’expériences le doute peut encore être présent en soi, cela me rassure un peu pour la suite. Au plaisir de vous consulter ultérieurement Excellente journée à vous Katy
Bonjour Katy, merci pour votre message que j’ai lu moi aussi avec beaucoup d’intérêt. Votre commentaire est très juste, les intelligences avec qui nous échangeons, nous transmettent des informations et une sorte de traducteur personnel se met en place pour formuler au mieux l’information et l’intention d’après moi. Je me souviens d’une dernière guidance que j’avais réalisée pour une personne qui avait suivi mon coaching, son « guide » lui disait qu’elle était prête à recevoir l’essence de leurs messages. Le terme « essence » était, je pense, tout à fait bien choisi. La nature et le fond sont plus importants que la forme. Il y a aussi l’exemple d’une personne qui pratique le voyage en astral. Cette personne a été « testée » par une équipe scientifique. Le cobaye était enfermé dans une pièce et il devait aller voir avec son corps astral une photo se trouvant dans la pièce d’à côté. Le voyageur astral a réussi à décrire la photo assez précisément. Il s’agissait d’une structure métallique avec des tubes, etc… Mais il n’a pas réussi à lui donner un nom. Il s’agissait de la tour Eiffel. Il y a encore des distorsions, mais l’essence des choses est présente! Au plaisir de vous retrouver. Candice.
Mon compagnon est décédé depuis 6 ans il se manifeste de temps en temps par des odeurs de cuisine surtout ses plats préférés . Quels sont tes ils ? Que veut t il me dire?
Bonsoir Guilaisne, Merci de votre message! Votre première question semble incomplète alors je vais tenter de répondre à la seconde du mieux possible. Les défunts essayent souvent de faire des signes à leurs proches vivants pour les rassurer dans le cas d’un deuil encore douloureux. Parfois, ils peuvent aussi avoir envie de rester auprès de leurs proches, car ils ne se sentent pas encore capables de s’éloigner de notre plan pour diverses raisons qui peuvent être sentimentales ou même parfois matérielles. J’ai aussi connu le cas de défunts ne s’étant pas aperçus qu’ils étaient décédés et reproduisant en boucle leurs actions, parfois depuis fort longtemps. Aussi c’est souvent « aux vivants » de les encourager à continuer leur évolution dans leur dimension. Parfois, les vivants aiment être accompagnés par leurs défunts cependant, il ne faut pas oublier qu’il y a des énergies dédiées à nous aider dans nos incarnations qui dans ce rôle sont très performantes.
Le Rien n’existe pas dans l’univers, les scientifiques découvrent toujours plus petit, ou plus grand ou autre chose… La mort n’est forcément qu’un changement, un passage et il y a forcément quelque chose après.
Je pense effectivement qu’il y a quelque chose avant et après. Nous vivons dans 1 dimension parmi d’autres.
Merci Ange pour votre commentaire!!
Pour moi pas de doute , la vie existe bien au delà de la mort!
Excellent cet article, merci !
Merci Maïno pour vos messages! Un prochain article bientôt!